Vieillissants, les Canadiens ? Si l’accroissement de l’espérance de vie tient plutôt de la bonne nouvelle, cette nouvelle longévité peut toutefois poser quelques problèmes sur le marché du travail à l’horizon 2021. Etats des lieux d’un phénomène aux conséquences directes pour les entreprises.
Le 20 avril dernier, Mediacorp dévoilait le nom de cinquante-cinq entreprises canadiennes reconnues cette année pour leurs efforts en matière de développement durable.
Via l’étude « Horizon Travail 2025 » publiée début avril, l’APRH et Deloitte lisent l’avenir économique du Canada. Entre mauvais présages et prospérité espérée, le point sur trois scénarios probables pour le futur, résultats des décisions prises dès aujourd’hui.
Sur le web, Bill Fields, président de la Recruiting Academy, essaime ses bons conseils pour tenter d’aider les compagnies à mener à bien leurs entretiens d’embauche, et séduire, par une présentation adaptée, les talents qui feront demain leur force.
Si de nombreuses entreprises à travers les pays de l’OCDE se sont aujourd’hui saisies de la question de la parité, il reste encore des progrès à accomplir. Le point sur la situation en quelques chiffres.
Efficaces et toujours accessibles, les outils de communication mobiles ont pris une place grandissante sur le lieu de travail. Un progrès qui ne va pas sans risque pour les données confidentielles des entreprises.
Plus que de simples considérations, les thèmes de l’écologie et du développement durable doivent susciter l’action au sein des entreprises. Et, en marge des remises en question fondamentales concernant le fonctionnement tout entier des compagnies, quelques efforts peuvent, à court terme déjà, porter leurs fruits.
Proximité et échanges quotidiens, centres d’intérêts communs, ambitions partagées… Quels que soient les motifs qui amènent au coup de cœur, le lieu de travail semble être tout indiqué pour initier une relation sentimentale.
Etre un actif salarié, indépendant, disposant chaque mois d’un revenu, mais vivant sous le seuil de pauvreté ? Une contradiction qui devient réalité pour de plus en plus de travailleurs de la région de Toronto, victimes, selon un rapport, d’une paupérisation alarmante.
Alors que la crise de la zone euro se poursuit, les salaires peineront, en Europe, en Afrique et au Moyen-Orient, à s’aligner à hauteur de l’inflation. De leurs côtés, les salariés canadiens devraient tirer leur épingle du jeu, avec une augmentation moyenne de 3,1%.
La firme de recherche canadienne Ipsos Reid vient de publier les résultats de son sondage sur les raisons pour lesquelles les Canadiens refuseraient de changer de ville pour leur travail. Sans surprise, ce sont la famille et les amis qui arrivent en tête.
Une étude d’échelle internationale publiée le 17 novembre dernier explicitait le sentiment des salariés face à leur avenir. Entre satisfaction, optimisme, et prudence, le point sur la situation actuelle.