EMBAUCHES
L’entreprise McGraw Seafood, au Nouveau-Brunswick, a non seulement permis de consolider 150 emplois en modernisant son équipement et en agrandissant son usine, mais elle a également permis de créer 50 nouveaux postes à son usine de transformation de fruits de mer.
Les voitures de métro Azur connaissent un beau succès, et l’usine de Bombardier de La Pocatière a dû embaucher 150 travailleurs supplémentaires afin de soutenir la cadence de production nécessaire.
Sherweb, une entreprise sherbrookoise spécialisée dans les solutions infonuagiques et l’hébergement de données, s’implante dans la région métropolitaine et contribue ainsi à la création de 200 nouveaux postes.
La Commission scolaire des Phares revoit le soleil après des années de compressions : professionnels, personnel de soutien et nouveaux enseignants viendront grossir les rangs de cette CS du Bas-Saint-Laurent à travers 30 nouveaux postes.
Montréal, capitale du jeu vidéo ? Toujours plus vrai grâce à la nouvelle contribution de Guy Laliberté, qui a cofondé (avec un ancien d’Ubisoft) Reflektor, un studio de création multiplateforme (jeu vidéo et contenu télévisuel et cinématographique). Le studio engagera 150 personnes au cours des 18 prochains mois.
CONGÉDIEMENTS
Le Groupe Investors supprime une centaine de postes au pays, dont 30 à son siège social à Winnipeg, au Manitoba. La société de services financiers n’a pas précisé la nature des emplois supprimés.
La décision de Bombardier de confier ses services informatiques à IMB en sous-traitance permettra à l’entreprise de réduire ses coûts, mais occasionne également la perte de centaines d’emplois au Canada.
L’équipementier Cisco connaît des baisses de revenu depuis six trimestres d’affilée et se voit dans l’obligation de laisser aller de la main-d’œuvre : il a annoncé ce mois-ci la suppression de 1 100 postes.
Le constructeur américain de voitures Ford a aussi fait de funestes annonces en mai concernant son personnel. Ce sont ainsi 1 400 personnes en Amérique du Nord et en Asie qui verront leur emploi sacrifié à l’autel de la rentabilité et des réductions de coûts.
La scierie québécoise Résolu résiste aux congédiements nécessaires dans le milieu pour faire face au droit compensateur imposé par l’État en choisissant de seulement mettre à pied temporairement ou de reporter l’embauche de 1 300 personnes.