C’est bien connu : il y a des secteurs où les salariés peuvent se permettre de porter des vêtements décontractés, d’autres où c’est mal vu… Mais cette frontière devient de plus en plus floue.
Ils ont déjà fait partie de la compagnie, ils ont démissionné et ils souhaitent aujourd’hui revenir : on les appelle les employés « boomerang ». Doit-on les embaucher… à nouveau ?
Éteindre son téléphone intelligent, programmer un courriel automatisé et fermer son ordinateur. Pour certains employés, pouvoir décrocher en vacances relève plutôt d'un rêve que d'une véritable capacité.
Le gouvernement du Canada a lancé le 12 juin la Stratégie en matière de compétences mondiales, visant à faciliter les démarches pour les entreprises et à stimuler la croissance économique ainsi que l’emploi.
Une entreprise pourrait voir sa productivité augmenter de 6 % à 9 % en faisant bouger ses employés afin qu’ils restent en bonne forme. Voici quelques pratiques à mettre en place au sein de votre entreprise.
L’engagement des employés a un impact direct sur la productivité, la plupart des entreprises le savent. Pour autant, elles n’utilisent pas toutes des mesures pouvant leur permettre d’évaluer le premier pour améliorer la seconde.
C’est une nouvelle étude de Randstad qui révèle à quoi ressemblera la main-d’œuvre au Canada en 2025, avec une tendance vers l’atypique qui devrait se confirmer dans les années à venir.
Quelle est la raison numéro 1 poussant les employés à démissionner ? Selon une étude de la firme Robert Half, spécialisée en dotation de personnel, c’est la faute du patron !
Vous êtes plus occupé à gérer les conflits entre vos salariés qu’à accomplir les missions qui vous reviennent ? Vous n’êtes pas seul, d’après une étude d’Accountemps.
Les introvertis peuvent présenter un style différent de leadership, susceptible d'être mis à profit lorsque vient le temps de gérer une équipe dans un environnement en constant changement. Explications
Les chercheurs d’emploi dits « passifs », des personnes déjà en emploi qui sont ouvertes à changer d’employeur, ont plus de chances d’être recrutés que les chercheurs actifs, ceux qui n’ont pas de travail.
Accusée de tous les maux tant en couple qu’au travail, la routine est souvent vue comme l’ennemi du changement. Mais est-ce vraiment le cas? Une étude danoise lève le voile sur son rôle inédit dans les changements organisationnels.