HotJobs en vente
Dans le cadre de son plan pour faire face à la crise, Yahoo a décidé de se séparer du site de recrutement HotJobs, 3ème site emploi aux Etats-Unis derrière CareerBuilder, avec 5,6 millions de visiteurs uniques en décembre 2008. Yahoo l’avait racheté 436 millions de dollars US en 2001 et l’avait positionné comme moteur de recherche d’offres d’emploi en 2005.
Vérifiez la sécurité et la santé psychologiquesde vos employés
Trois salariés canadiens sur dix sont susceptibles d'évoluer dans un milieu de travail non sécuritaire et pouvant créer des problèmes psychologiques, indique une étude Ipsos Reid publiée récemment pour le compte du Consortium for Organizational Mental Healthcare (COMH). Aux vu de ces résultats, le Centre pour la santé mentale en milieu de travail de la Great-West lance Guarding Minds @ Work. Ce guide en ligne fournit des informations pratiques aux employeurs, notamment pour expliquer le concept de la sécurité et de la santé psychologiques ou pour la mesurer.
Secteur solaire : de brillantes perspectives d’emploi
101 % ! Tel est le spectaculaire taux de croissance attendu pour la main d’œuvre du secteur solaire d’ici 2011. Ce résultat, fruit d’une enquête menée conjointement par le Conseil sectoriel de l’électricité (CSE) et l’Association des industries solaires du Canada (CanSIA), tient compte des incertitudes économiques qui commençaient à poindre en octobre et novembre 2008, période de réalisation de ce sondage. Quatre fonctions ont particulièrement le vent en poupe : la gestion de projet (+178 %), l’installation (+146 %), les ventes (+120 %) et la fabrication (+107 %).
La sécurité de l’emploi n’attire pas les professionnels des communications
Seulement 4 % des professionnels canadiens du secteur des communications ont choisi leur poste pour la sécurité de l’emploi. C’est ce que révèle un récent sondage pancanadien réalisé par le National Advertising Benevolent Society, le Bénévolat d’entraide aux communicateurs, et Infopresse. Selon cette étude, le respect inspiré par l’employeur, le fait de travailler avec des gens intéressants et le salaire figurent parmi les critères les plus importants. Les proportions sont toutefois différentes au Canada anglais et au Québec. Le salaire motive ainsi 12 % des anglophones, contre 8 % des Québécois.
États-Unis : les hommes davantage touchés par le chômage
8,8 % contre 7 %. Selon les dernières statistiques du département du Travail, le chômage affecte davantage les hommes que les femmes aux États-Unis. Les femmes sont aujourd’hui moins touchées par la crise financière car les secteurs dans lesquels les hommes évoluent sont ceux qui ont le plus souffert de la débâcle économique. Dans l’immobilier, 9 ouvriers sur 10 sont des hommes. Leur proportion est de 7 sur 10 dans l’industrie.
Mobilité du travail : accord franco-québécois inédit
La longue négociation liée à la mutuelle reconnaissance des qualifications professionnelles des travailleurs français et québécois va enfin aboutir. L’entente sera signée le 27 avril prochain à Paris. À cette occasion, les représentants des deux pays des métiers de la construction, du bâtiment ainsi que des ordres d’architectes, d’avocats, d’experts-comptables ou encore de médecins et de vétérinaires se réuniront. Certains signeront des accords de reconnaissance mutuelle. Ces partenariats entre ordres font suite à l’Entente franco-québécoise sur la mobilité professionnelle signée en octobre 2008 au Québec.
Mauvaise préparation au management multiculturel
Selon une récente étude du cabinet , la communication demeure difficile entre les managers et les employés de cultures et d’horizons différents. L’enquête menée auprès de 45 compagnies dans le monde révèle que ces dernières n’ont pas mis en place de programme de formation sur le management des équipes multiculturelles. Or 91% des employeurs s’attendent à voir leurs équipes se diversifier davantage dans un avenir proche, y compris avec des employés ne parlant pas la même langue et ayant des modes de travail opposés. L’étude précise que les différences entre les cultures occidentales et asiatiques sont les plus problématiques.
Les baby-boomers ne veulent pas prendre leur retraite
Les baby-boomers souhaitent rester plus longtemps sur le marché du travail. Selon un sondage BMO Groupe financier, 1/3 des travailleurs canadiens supposés prendre leur retraite dans les 5 années envisageraient de garder leur poste. Pourquoi ? Pour rester actif financièrement indique l’étude, et parce que la crise financière fait peur aux futurs retraités. Par ailleurs, afin d'augmenter leurs revenus de retraite, de plus en plus de retraités cherchent un emploi. L’étude met aussi en évidence un problème d’information : plus du tiers des répondants ignorent combien d’argent ils recevront du Régime de pensions du Canada en reprenant le travail.
La qualité des emplois reste stable au Canada
La qualité des emplois au Canada n’est pas détériorée par la crise indique le nouveau rapport « Marchés mondiaux » de la CIBC. Avec 356 000 emplois en moins depuis octobre 2008, le nombre d’emplois diminue à un rythme sans précédent. Toutefois, l’indice de la qualité de l’emploi CIBC n’a chuté que de 0,2 %. Pour comparaison, la qualité des emplois a régressé de 6,4 % aux États-Unis en 2008. L'indice évalue la qualité d'un emploi en fonction de facteurs tels que le nombre d'emplois à temps partiel par rapport aux temps pleins, le nombre de travailleurs autonomes comparé aux travailleurs salariés, et la grille de rémunération à temps plein, et ce dans plus dans 100 groupes sectoriels. La stabilité de la qualité des emplois au Canada s’explique par le fait que la plupart des emplois perdus sont peu rémunérés. C'est dans l'Ouest canadien et en Ontario que la qualité de l'emploi se détériore le plus. Au Québec et dans le Canada atlantique l’indice reste stable.
Parlez à vos employés en temps de crise
24% des employés canadiens ont peur d’être licenciés, indique le sondage « Build a Better Workplace » mené par l’institut Ipsos Reid. Plus de la moitié des 1 100 employés interrogés affirment que leurs employeurs et managers ne leur ont fourni aucune information sur la crise. L’inquiétude monte en Ontario, où l’industrie automobile est largement implantée. Les employés du secteur privé sont en général plus préoccupés que ceux du secteur public. Ne pas communiquer sur la situation économique peut installer une tension, et donc rendre la tâche des gestionnaires plus difficile. Selon l’étude Ipsos, établir un échange employé/manager, même informel, peut réduire le malaise. Il semble toutefois que les cadres (47%) et managers (52%) ne soient pas plus au fait de l’impact de la crise sur l’activité de leur entreprise.
Les PME québecoise moins confiantes pour l’avenir
Un récent sondage du Fonds de solidarité FTQ indiquant l'indice de confiance des PME québecoise dévoile une véritable chute d’optimisme chez les entrepreneurs. Avec un indice de 49/100, la confiance recule de manière significative. En février dernier, 59 % des dirigeants avaient l'intention de procéder à de nouveaux projets d'investissement alors que ce taux chute à 50 % fin avril. Les chefs d’entreprise demeurent donc prudents et retardent les projets d'acquisition, d'expansion ou de modernisation. À noter également, 55% des dirigeants de PME pensent qu'il sera encore plus difficile qu'aujourd'hui d'avoir des possibilités de financement au cours de la prochaine année.
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