La mobilisation des employés progresse à travers le monde
Malgré le contexte économique, le degré de mobilisation des employés a légèrement progressé dans le monde au cours de l’année, selon un rapport d’Aon Hewitt. Un signe positif quand on sait que la mobilisation des salariés influe sur la performance des entreprises.
Si l’on se réfère aux données recueillies par Aon Hewitt auprès de 3 100 entreprises à travers le monde, le degré de mobilisation des employés a légèrement augmenté, passant de 56% en 2010 à 58% en 2011. Pour évaluer la mobilisation, le cabinet de conseil s’est appuyé sur différents critères : la manière dont l’employé vante les mérites de son organisation dans son entourage, son désir élevé de faire partie de l’entreprise et sa participation à la réussite des projets.
Des différences régionales
Comme lors des années précédentes, des disparités apparaissent dans la mobilisation en fonction de la zone géographique. L’Amérique Latine se maintient au niveau le plus élevé (71%), suivie par l’Amérique du Nord (64%), l’Asie-Pacifique (58%) et l’Europe (52%). Mais, c’est surtout l’évolution de 3 points de pourcentage en Asie-Pacifique qui permet au niveau global d’augmenter, les autres régions variant très peu.
L’étude permet également de constater des améliorations dans certains facteurs clés reliés à la bonne image que peuvent avoir les employés de leur entreprise. Parmi les plus fortes progressions, citons l’efficacité du leadership par division ou unité d’affaire qui passe de 54% à 61% entre 2010 et 2011. Autres facteurs positifs : l’amélioration des pratiques en ressources humaines afin de créer un environnement de travail bénéfique et une relation client perçue comme valorisante. À l’inverse, certaines catégories ont connu un déficit d’image comme l’efficacité de la communication, l’environnement de travail, l’innovation et la sécurité sur le lieu de travail.
Les clés d’une meilleure mobilisation
Aon Hewitt profite de la publication de ce rapport pour égrener quelques conseils dans le but d’obtenir une plus grande mobilisation dans l’entreprise. Selon le cabinet, les opportunités de carrière sont depuis quatre ans le principal moteur de mobilisation chez les employés. Malgré des départs à la retraite retardés et un faible renouvellement du personnel, les compagnies peuvent jouer sur différents facteurs : la préparation des employés lors d’un changement de poste ou le recours à des opportunités d’avancement latérales pour les employés clés. Mais d’autres critères apparaissent également importants aux yeux des employés pour améliorer leur mobilisation. Pour les entreprises et toujours selon Aon Hewitt, il s’agit donc de travailler sur différents aspects : la reconnaissance dans le travail, la bonne réputation de l’entreprise, la communication interne, la gestion efficace des performances et le salaire. Autant d’aspects qui devraient concourir à améliorer les performances des entreprises.
Malgré le contexte économique, le degré de mobilisation des employés a légèrement progressé dans le monde au cours de l’année, selon un rapport d’Aon Hewitt. Un signe positif quand on sait que la mobilisation des salariés influe sur la performance des entreprises.
Si l’on se réfère aux données recueillies par Aon Hewitt auprès de 3 100 entreprises à travers le monde, le degré de mobilisation des employés a légèrement augmenté, passant de 56% en 2010 à 58% en 2011. Pour évaluer la mobilisation, le cabinet de conseil s’est appuyé sur différents critères : la manière dont l’employé vante les mérites de son organisation dans son entourage, son désir élevé de faire partie de l’entreprise et sa participation à la réussite des projets.
Des différences régionales
Comme lors des années précédentes, des disparités apparaissent dans la mobilisation en fonction de la zone géographique. L’Amérique Latine se maintient au niveau le plus élevé (71%), suivie par l’Amérique du Nord (64%), l’Asie-Pacifique (58%) et l’Europe (52%). Mais, c’est surtout l’évolution de 3 points de pourcentage en Asie-Pacifique qui permet au niveau global d’augmenter, les autres régions variant très peu.
L’étude permet également de constater des améliorations dans certains facteurs clés reliés à la bonne image que peuvent avoir les employés de leur entreprise. Parmi les plus fortes progressions, citons l’efficacité du leadership par division ou unité d’affaire qui passe de 54% à 61% entre 2010 et 2011. Autres facteurs positifs : l’amélioration des pratiques en ressources humaines afin de créer un environnement de travail bénéfique et une relation client perçue comme valorisante. À l’inverse, certaines catégories ont connu un déficit d’image comme l’efficacité de la communication, l’environnement de travail, l’innovation et la sécurité sur le lieu de travail.
Les clés d’une meilleure mobilisation
Aon Hewitt profite de la publication de ce rapport pour égrener quelques conseils dans le but d’obtenir une plus grande mobilisation dans l’entreprise. Selon le cabinet, les opportunités de carrière sont depuis quatre ans le principal moteur de mobilisation chez les employés. Malgré des départs à la retraite retardés et un faible renouvellement du personnel, les compagnies peuvent jouer sur différents facteurs : la préparation des employés lors d’un changement de poste ou le recours à des opportunités d’avancement latérales pour les employés clés. Mais d’autres critères apparaissent également importants aux yeux des employés pour améliorer leur mobilisation. Pour les entreprises et toujours selon Aon Hewitt, il s’agit donc de travailler sur différents aspects : la reconnaissance dans le travail, la bonne réputation de l’entreprise, la communication interne, la gestion efficace des performances et le salaire. Autant d’aspects qui devraient concourir à améliorer les performances des entreprises.
Articles récents par Aurélie Le Caignec