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Les salariés doivent assister à la fête de Noël de l’entreprise

Plus de la moitié des dirigeants dont la compagnie organise une fête de Noël admettent qu’il n’existe aucune règle formelle obligeant les employés à y assister. Toutefois, 41 % des participants au sondage d’OfficeTeam sur le sujet font remarquer qu’une apparition est attendue. Le but : apprendre à connaître ses collègues et supérieurs à un niveau plus personnel afin de rendre le travail plus plaisant et productif. Dans 48 % des entreprises interrogées, les célébrations prennent la forme d’une fête en dehors des bureaux ; dans 36 % des compagnies, d’une fête sur place ou d’un déjeuner ; dans 31 %, de décorations ; et dans 18 %, d’échanges de cadeaux informels.

Le salaire minimum à 9,50 $ l’heure en Colombie-Britannique

La deuxième augmentation du salaire minimum est entrée en vigueur au début du mois de novembre en Colombie-Britannique, passant ainsi de 8,75 $ à 9,50 $ l’heure. Les travailleurs à pourboire toucheront un salaire minimum de 8,75 $ l’heure. Plus tôt dans l’année, la Première ministre Christy Clark avait annoncé son intention d’augmenter progressivement le montant du salaire minimum qui stagnait à 8 $ depuis presque dix ans (le niveau le plus bas au Canada). Le président de la Fédération provinciale des travailleurs, Jim Sinclair, notait toutefois que certains employeurs ne payaient pas ces salaires minimums à leurs employés mais qu’il était difficile de faire le suivi, étant donné que des postes de contrôleurs avaient été supprimés. En mai 2012, après une troisième et dernière augmentation, le salaire devrait atteindre 10,25 $ dans la province.

Le PIB canadien en hausse en 2010

Le produit intérieur brut (PIB) a augmenté dans toutes les provinces canadiennes en 2010, vient de révéler Statistique Canada. Il a enregistré une hausse de 3,2 % à l’échelle nationale, après avoir reculé de 2,8 % en 2009. Les investissements des entreprises canadiennes ont progressé dans les trois grandes catégories de capital fixe : les bâtiments résidentiels, les ouvrages non-résidentiels et les machines et le matériel. Du côté des industries productrices de biens et de services, les exportations ont augmenté de 6,4 %, après une diminution de 14 % en 2009. Les économies basées sur les ressources de l’Alberta, de la Saskatchewan et de Terre-Neuve-et-Labrador ont enregistré des hausses du PIB réel supérieures à la moyenne nationale.

Un nouveau site emploi web, jeux vidéo et mobile

Azimutjobs.ca a été créé par quatre entrepreneurs de Sherbrooke. Le but : permettre aux professionnels du web, des jeux vidéo et des applications mobiles d’entrer en contact avec des employeurs et recruteurs… Et à ces derniers de trouver des candidats qualifiés. C’est le premier site emploi de ce type au Québec. Intégrateur web, programmeur-analyste, agent de veille web, concepteur de jeu technique… Tous les métiers de ces trois industries florissantes peuvent se retrouver sur Azimutjobs.ca. Pour plus d’efficacité, les postes sont répartis dans des sous-catégories : design graphique, art 2D/3D, développement web, gestion de réseau, communication… Tous les types de contrats sont concernés, qu’il s’agisse de temps plein, de pige, ou même de stage.

Une campagne pour les ingénieurs

Une profession. Des idées. Un engagement. Tel est le slogan de la campagne conçue par Bleublancrouge pour l’Ordre des Ingénieurs du Québec. Campagne qui vise à mettre en avant la profession d’ingénieur et ses différentes facettes en montrant l’impact du travail des ingénieurs sur la vie quotidienne. Jusqu’au 4 décembre, divers médias diffuseront ainsi un message de trente secondes destiné à revaloriser l’image de la profession, mise à mal ces derniers temps. Puis, en mars 2012, la communication reprendra à l’occasion du Mois national du génie. A noter que cette campagne a été entièrement financée par l’OIQ grâce à une cotisation spéciale entérinnée en juin 2011 au cours de l’assemblée générale annuelle de l’Ordre.

Une fois retraités, les Canadiens comptent continuer à travailler

Selon un sondage CIBC, la plupart des Canadiens a l’intention de continuer à travailler une fois à la retraite. Parmi les 1 800 participants à l’étude, 45 % ont annoncé qu’ils travailleraient à temps partiel après avoir pris leur retraite, 24 % qu’ils offriraient occasionnellement leurs conseils à qui en a besoin, 9 % qu’ils commenceraient une nouvelle affaire, et 8 % qu’ils continueraient à travailler à temps plein. C’est en Colombie-Britannique que les retraités sont les plus susceptibles de rester actifs après leur retraite (80 % des répondants). Les résultats diffèrent également en fonction de l’âge : 80 % des 18-24 ans pensent continuer à travailler après leur retraite, contre 68 % des 45-54 ans.

Salaire : les jeunes attendent trop

D’après une étude réalisée par trois chercheurs canadiens dans le cadre du Generational CareerShift Project, les étudiants espèrent gagner 48 860 dollars par an au cours de leur première année de carrière, un chiffre qui descend à 42 060 dollars pour les étudiantes. Des attentes qui ne sont pas irréalistes. En revanche, les 19-31 ans pensent qu’après cinq ans de carrière, ils toucheront 84 868 dollars par an pour les hommes, et 67 766 dollars par an pour les femmes, ce qui représente des augmentations annuelles respectives de 14,8 % et 12,8 %. Une vision trop optimiste, surtout lorsqu’on considère que les augmentations salariales au Canada tournaient autour de 3 % en 2010 et 2011. De plus, les hommes pensent que leur plus haut salaire atteindra les 171 036 dollars par an, contre 125 664 pour les femmes… Alors que seuls 4 % des Canadiens gagnent plus de 100 000 dollars par an.

40 millions d’emploi manquants

Selon le Bureau international du travail (BIT), au cours des deux prochaines années, l’économie mondiale aura besoin de 80 millions d’emploi pour rétablir un taux d’emploi équivalent à celui d’avant-crise. Or, si la situation continue à évoluer comme elle le fait à l’heure actuelle, seuls 40 millions d’emplois seront créés. Selon le BIT, ce ralentissement économique serait du à l’isolement des pays : alors qu’ils avaient tenté de coordonner leurs politiques économiques en 2008, en particulier au sein du G20, ils agissent aujourd’hui chacun de leur côté. L’organisme conseille donc aux gouvernements d’essayer de travailler ensemble à la création d’emplois.

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