Un quart des entreprises nord-américaines récompensent l'incompétence
Les employés les plus performants ne seront pas les seuls à être récompensés cette année, d'après une étude menée par le cabinet Towers Watson. Le quart des gestionnaires nord-américains affirment qu'ils gratifieront leurs salariés les moins productifs. Par ailleurs, ils sont 18% à déclarer ne mettre aucun dispositif de mesure de la performance individuelle en place pour l'octroi d'une prime d'objectif. Résultat : ils récompensent également les membres de leur personnel. L'étude révèle également que les entreprises canadiennes ne disposeront que de 86% des fonds qui étaient réservés aux employés pour l'attribution des bonus. Depuis 2005, elles n'ont financé la totalité des primes qu'une seule fois, en 2006.
Le salaire, un critère secondaire pour postuler à un emploi
Avant de prendre la décision de présenter une demande d'emploi, les candidats du secteur de la communication et du marketing prennent tout d'abord en compte le type de travail (42%). Viennent ensuite à égalité la culture d'entreprise et le salaire (21%). L'enquête menée par FreshGigs.ca a par ailleurs mis en exergue les attentes des candidats envers les employeurs au moment de poster une offre. Parmi les réponses figurent le désir d'en savoir davantage, dès la publication de l'annonce, sur le salaire, la culture, le nom des personnes à contacter, les différentes étapes du recrutement, les compétences requises et souhaitées, le lieu de travail,… Une fois leur candidature envoyée, ils aimeraient notamment recevoir une confirmation de bonne réception et être tenus informés lorsque le poste est pourvu.