Amour de sa vie, ou job de sa vie? Peut être est ce la question à se poser lorsqu'on commence à fréquenter un collègue de travail…
Un sondage réalisé par Monster le mois dernier (5100 personnes sondées à travers le monde), fait ressortir qu'à l’échelle mondiale, 58% des travailleurs interrogés pensent que sortir avec un(e) collègue nuirait certainement à leur travail. Un tiers d'entres eux cependant, ne renonceraient pas pour autant à la relation.
Au niveau canadien, plus de la moitié n'envisagerait jamais de sortir avec un collègue, même si 64% des personnes interrogées pensent que cela n'aurait pas ou peu d'impact pour elle ou leur environnement de travail. Ils rejoignent ainsi leurs sages collègues frontaliers américains.
Évidemment, l’impact et la considération au sein du milieu de travail seront différents s’il s’agit d’une aventure ou d’une relation perçue comme durable et stable.
Il reste indéniable qu’une amourette qui voit le jour devra de toute façon survivre aux liens hiérarchiques, aux regards des autres collègues, souvent inversement proportionnels d’ailleurs, à l’intensité de la relation!, et à la culture de l’entreprise.
D'ailleurs, autres endroits, autres mœurs… si on se fie aux résultats du sondage, les Européens fidèles à leur réputation romantique, se montrent bien plus relax et décomplexés par rapport à cette question, puisque seulement 24% éviteraient une relation au sein de leur entreprise.
Voici ci-dessous les résultats à l'échelle mondiale:
- Ça risque de nuire et je ne sortirais jamais avec un(e) collègue >> 39 %
- Ça risque de nuire mais je sortirais quand même avec un(e) collègue, surtout si nous sommes attirés l'un(e) par l'autre >>· 19 %
- Ça ne peut pas nuire, mais je ne sortirais néanmoins jamais avec un(e) collègue >>· 15 %
- Ça ne peut pas nuire et je sortirais avec un(e) collègue >>· 27 %