Workopolis met un pied dans le web 2.0
Workopolis se lance aujourd’hui dans le web 2.0 en ouvrant un espace sur deux médias sociaux en vogue, Youtube et Twitter. Sur le site de partage de vidéos Youtube, publie sous forme de vidéo-clips des conseils et des témoignages à destination des chercheurs d’emploi, des salariés mais également pour les recruteurs. Ces derniers ont ainsi accès à des conseils pour rédiger leurs offres d’emploi, optimiser la productivité de leur personnel ou encore conserver la bonne humeur de leurs employés. Sur le site de socialisation Twitter, ouvre un espace pour y publier cette fois-ci ses offres d’emploi. Le site emploi espère ainsi accroître la visibilité de ses annonces auprès des chercheurs d’emploi mais également auprès des candidats en veille.
Les canadiens particulièrement dévoués au travail
Le Canada est l’un des pays où les employés sont parmi les plus dévoués à leur travail, révèle une nouvelle étude internationale menée par la firme Right Management. L’enquête effectuée dans 15 pays industrialisés révèle que les Canadiens démontrent énormément d’engagement envers leur entreprise. Plus de 40% des 2 000 travailleurs canadiens interrogés pour cette étude ont fait part de leur grand dévouement pour leur emploi, contre une moyenne mondiale de 34%. Le fait d’être félicité pour leurs réussites et de travailler avec de bons leaders sont autant de facteurs qui influencent positivement les employés au pays.
OCDE : augmentation des coûts de main d’œuvre
Les coûts unitaires de la main d’œuvre ont augmenté de 0,8% dans les pays de l’OCDE lors du second trimestre 2009. Cette baisse s’explique par une diminution de la production de volume due à la crise économique mondiale. Concrètement, cela signifie que les salaires des employés ont dépassé pour cette période la croissance de la productivité du travail. Les impacts de cette hausse se situent au niveau des prix à la production qui subissent une pression supplémentaire.
La forte culture d’entreprise synonyme de rentabilité
La firme de RH Waterstone a fait connaître son palmarès annuel des 10 sociétés canadiennes les plus admirées pour leur culture d’entreprise. D’après Waterstone, les compagnies qui se démarquent par cet aspect ont de meilleures chances d’obtenir de bons résultats financiers. D’ailleurs, trois quart des dirigeants interrogés par la firme ont dit prioriser la culture d’entreprise comme critère de rentabilité. La liste complète de ce club sélect comprend : Acklands-Grainger Inc., Aviva Insurance Company of Canada, Ceridian Canada Ltd., Corus Entertainment, Fairmont Hotels and Resorts, GoodLife Fitness, Medavie Blue Cross, Starbucks Coffee Canada, Telus et Walmart Canada. Plusieurs centaines d’entreprises ont été analysées pour les fins de ce classement.
Il fleure bon la reprise !
Les entreprises canadiennes ont déjà commencé à se préparer à la reprise économique et comptent sur une remontée de leurs résultats d’ici fin 2009 ou courant 2010, selon un sondage mené en Septembre 2009 auprès de 72 employeurs canadiens par la firme Watson Wyatt. Un certain nombre d’entre elles prévoient même d’annuler le gel des embauches ou des salaires au cours des mois qui viennent : 53 % des entreprises participantes ont déclaré avoir l’intention de dégeler les salaires d’ici 12 mois, tandis que 35 % prévoient d’annuler le gel des embauches dans le même laps de temps.
Conflits intergénérationnels : méfiez-vous des préjugés !
Les différences de comportement au travail entre Boomers, Génération X et Génération Y relèveraient plus du préjugé que du constat. C’est ce que nous apprend une étude publiée mi-novembre par le Conference Board du Canada, dont les résultats démontrent que la plupart des stéréotypes concernant ces différentes générations (Boomers mal à l’aise avec les nouvelles technologies et peu ouverts au changement, Génération X cynique et égoïste, Génération Y paresseuse et ingérable…) sont largement injustifiés. Les 3 générations seraient en réalité sur la même longueur d’onde dans la très vaste majorité des cas.
La culture Toyota expliquée aux nuls
Au cours d’une entrevue accordée à LesAffaires.com mi-novembre, Michael Hoseus, ancien dirigeant d’une usine Toyota au Kentucky, explique ce qui, selon lui, empêche la plupart des entreprises de reproduire le très convoité modèle Toyota. Selon le journaliste Jean-François Cloutier, trois éléments-clefs sont à retenir : une insistance quasi obsessionnelle sur le leadership, un accent trop grand mis sur le court terme et la confusion entre une approche « lean » et de nécessaires réductions de postes.
=> Visionner les morceaux choisis de l’entrevue
De l’influence des TI sur la Génération C
Ils représentent 1,4 million de Québécois, sont des utilisateurs extrêmes d’Internet et des TI, et vont, de l’avis du Centre francophone d'informatisation des organisations (CEFRIO), profondément modifier le fonctionnement des organisations. Oui, vous l’avez reconnue, il s’agit bel et bien de la Génération C, composée des jeunes nés entre 1982 et 1996, et appelée ainsi en référence aux termes Créer, Communiquer et Collaborer. Une étude réalisée par le CEFRIO et rendue publique fin octobre analyse la façon dont les comportements de ces jeunes en lien avec les TI influencent leurs attentes et leurs façons de faire en tant qu’étudiants, travailleurs, consommateurs et citoyens. Du fait même d’un usage abondant des technologies de l'information (64 % possèdent un ordinateur de bureau ; 60 % une console de jeu vidéo ; 57 % un téléphone cellulaire), les auteurs estiment qu’ils ont développé des compétences et des attentes particulières en termes d’emploi et de carrière, notamment en regard des pratiques de gestion en entreprise.