Chers recruteurs de 40 ans et plus, souvenez-vous de la belle époque quand il y avait des candidats à profusion et que nous n’avions qu’à lever le petit doigt pour les attirer dans nos filets...
On est début 2012 et l’heure des bilans cède le pas aux plans d’actions Modéliser les bons coups: voilà votre objectif! Voici quelques suggestions pratico-pratiques
L’économie actuelle, le facteur démographique et les enjeux croissants de la gestion des talents, incluant celui des générations, ont amené les entreprises à revoir leur processus de recrutement pour se démarquer sur leur marché.
Qui n’a jamais vécu de périodes de questionnements, de remises en question et de doute? Vous savez, cette petite idée insidieuse qui se glisse en vous et crée une petite fissure. Les certitudes s’effritent et une faille s’ouvre à votre insu.
De récentes études publiées dans des revues très sérieuses ont démontré que les gens gentils et les gens laids étaient moins bien payés. En clair, mieux vaut être beau, selon les standards de beauté (même si cela reste discutable), et désagréable si vous voulez augmenter votre rémunération. Alors, que faire si vous êtes d’un naturel gentil et doté d’un physique ordinaire?
Imaginez pouvoir rejoindre en temps réel les candidats à proximité de votre bureau. Ils passaient dans la rue pour courir à la boutique offrant le rabais Groupon et là… PAF!
Vous vous souvenez de Nadine le mois dernier? Toujours en Detox corporative, Nadine est passée en deuxième vitesse. Après avoir distingué l’urgent de l’important, elle s’est dotée d’une stratégie. Comment redonner du sens dans un nouveau mode de vie professionnel et personnel?
Êtes-vous du genre « high achiever » à tendance « workaholic »? Si oui, prenez quelques instants de votre horaire ultra-chargé pour réfléchir. La recherche perpétuelle d’excellence est une dépendance qui nous amène à ne prendre que des risques calculés afin d’éviter l’échec.
Les leaders inspirants sont confiants, souriants et dégagent une énergie qui peut influencer leurs équipes, les dynamiser et leur faire soulever des montagnes. Ils sont résolument optimistes, ce qui les aide notamment à mieux supporter la pression et passer au travers des crises ou des moments de tension. Winston Churchill se déclarait d’ailleurs optimiste quoi qu’il arrive. Comment font-ils et comment encourager l’optimisme dans nos organisations? Comment détecter ces individus et les mettre en position de leader de projet?
Je viens de passer deux semaines enfermée dans une salle de classe. Mais pas n’importe laquelle… L’Université Harvard est reconnue pour avoir les meilleurs! . Au-delà de la richesse de l’enseignement, de la qualité des professeurs et des intervenants, et de la diversité des participants au programme de cette prestigieuse université, j’ai pu voir les masques tomber un à un.
On est fin décembre 2009. Cela fait 15 ans que je fais le même métier. Je le connais par cœur. Maudite zone de confort qui me mine au lieu de me conforter dans mes dossiers douillets. Combien d’entre nous se sont déjà dit qu’ils avaient fait le tour du jardin, mais qu’ils ne savaient pas quelles étaient les prochaines étapes?
Ce matin, en ouvrant ma boite courriel, un message d’un de mes réseaux sociaux m’a interpellée. « Nathalie, 520 de vos contacts ont changé d’emploi en 2010 ! » Non seulement je recevais directement des données statistiques affectant mon réseau mais, en plus, j’avais accès à la liste des individus concernés! Sans aucun effort direct de ma part, je dispose d’une base de données actualisée correspondant à 1/5 de mes contacts de ce réseau particulier. Intéressant… très intéressant!