« Je ne veux pas que mon entreprise ait la réputation d’être gentille. » C’est ce qu’un dirigeant d’une grande entreprise m’a lâché en pleine conversation sur sa stratégie de gestion des talents.
Notre famille a un jour adopté une tortue. Je me souviens lorsque nous avons cédé, devant les yeux de ma petite dernière à l’animalerie (on aurait dit Le chat potté du film Shrek me faisant les yeux doux… absolument irrésistible!). Bref, c’est Noël et nous rentrons avec la petite (toute petite) Tortue de Floride à la maison avec un petit aquarium qui tient parfaitement sur la table de nuit de la petite dernière.
Ce n’est pas facile de recadrer un employé, mais surtout ce n’est jamais très agréable. Généralement, on préfère les félicitations aux remontrances. Mais attention, tolérer des comportements au travail qui ne sont pas professionnels ou qui ne répondent pas aux règles de vie du bureau, ou encore une performance non satisfaisante (et l’accepter dans la durée), c’est au final les cautionner. Et du même coup, aux yeux de l’employé en question et de ses collègues de travail, c’est légitimer une situation qui ne devrait pas l’être. À terme, le problème qui va se poser, c’est l’effritement de la crédibilité du gestionnaire et l’instauration insidieuse d’un sentiment d’injustice, particulièrement démotivant pour les employés qui, eux, se conforment aux exigences.
C’est en revenant de vacances que l’idée de cette chronique a germé. Une collègue bloggeuse, Marie-Claude Ducas, écrivait ceci sur son blogue : « Le bronzage est bientôt ‘‘out ’’».
Les aventures rocambolesques d’un candidat et d’une cabine téléphonique. (La vérification des références deuxième partie.)
Qu’ont en commun Scott Thompson, Jean-Pierre Gaillard, Phillippe Berre et Frank Abagnale? Ils ont menti sur leurs diplômes ou leurs expériences professionnelles lors de leur processus de sélection.
La disparition des CV papier traditionnels semble de plus en plus imminente. La problématique n'est pas que le papier ne soit plus à la mode, mais plutôt qu'il existe une multitude d'autres solutions beaucoup plus rapides, économiques, efficaces permettant de sauver de nombreux arbres.
Chers recruteurs de 40 ans et plus, souvenez-vous de la belle époque quand il y avait des candidats à profusion et que nous n’avions qu’à lever le petit doigt pour les attirer dans nos filets...
On est début 2012 et l’heure des bilans cède le pas aux plans d’actions Modéliser les bons coups: voilà votre objectif! Voici quelques suggestions pratico-pratiques
L’économie actuelle, le facteur démographique et les enjeux croissants de la gestion des talents, incluant celui des générations, ont amené les entreprises à revoir leur processus de recrutement pour se démarquer sur leur marché.
Qui n’a jamais vécu de périodes de questionnements, de remises en question et de doute? Vous savez, cette petite idée insidieuse qui se glisse en vous et crée une petite fissure. Les certitudes s’effritent et une faille s’ouvre à votre insu.
De récentes études publiées dans des revues très sérieuses ont démontré que les gens gentils et les gens laids étaient moins bien payés. En clair, mieux vaut être beau, selon les standards de beauté (même si cela reste discutable), et désagréable si vous voulez augmenter votre rémunération. Alors, que faire si vous êtes d’un naturel gentil et doté d’un physique ordinaire?