L'engagement des salariés nord-américains pour leur entreprise a atteint son niveau le plus bas depuis 2008 d'après une analyse réalisée par Aon Hewitt. 2 500 entreprises représentant plus de 3,8 millions d'employés ont été étudiées à travers le monde pour mettre en lumière le rôle prépondérant des employeurs dans l'implication de leurs collaborateurs pour la bonne marche de leurs affaires.
Dans un contexte d'amélioration du marché de l'emploi, la moitié des entreprises constatent un roulement du personnel plus élevé que l'année passée. Les trois quart d'entre elles s'attendent par ailleurs à encore plus de départs. C'est ce que révèle une enquête menée par OI Partners-Feldman Daxon Partners auprès de 153 entreprises nord-américaines.
Mediagrif vient de conclure une entente définitive avec Québecor : pour 65 millions elle a acquis Jobboom le 1er juin, et s’engage à faire l’acquisition de Réseau Contact au 31 octobre 2013.
Des volumes de réinstallation en augmentation en 2012, des mesures incitatives pour convaincre les employés de déménager... La tendance à la relocalisation des entreprises se confirme à travers le monde d’après l’enquête menée par Atlas Van Lines, spécialiste du déménagement.
Recruter la mauvaise personne peut avoir de sérieuses conséquences, notamment en termes de coût. Parmi les dix premières économies au monde, plus de la moitié des entreprises auraient fait de mauvais choix de recrutement selon CareerBuilder.
Demain, les recruteurs pourraient se faire remplacer par des robots. La « science » se met au service du recrutement et il semblerait que quelques algorithmes et formules mathématiques bien senties pourraient supplanter le travail de l’humain. Rien de nouveau vous direz, on a déjà vu à quelques reprises des percées technos tenter de s’immiscer dans l’évaluation des candidats : tests de personnalité en ligne, CRM ultra-perfectionnés, « ATS ». Bref, le marché de l’automatisation du recrutement suscite beaucoup d’intérêt et d’investissements en recherche et développement. Aujourd’hui, on parle de « technologies prédictives » au service du recrutement.
Au cours des vingt dernières années, la proportion de femmes occupant des postes de cadres ou de dirigeantes n'aurait pas vraiment changé au Canada. Toujours confrontées à des attitudes, préférences et préjugés, les Canadiennes demeurent à l'écart des possibilités d'avancement de carrière. C'est ce que révèle une enquête menée par le Conférence Board du Canada auprès de 876 femmes et hommes à travers le pays.
Hydrogen, cabinet de recrutement international, a interrogé 2 146 personnes réparties dans 90 pays sur leurs motivations à s'expatrier pour travailler. Résultat des courses : les opportunités de carrières, l'attrait pour une nouvelle expérience et le potentiel financier viennent justifier les déplacements des travailleurs à travers le monde. Tour d'horizon des grandes tendances de l'étude.
52% des dirigeants d’entreprises canadiennes déclarent qu’il ne vaut plus la peine de financer une expertise en interne sur des créneaux spécialisés. La tendance semble plutôt au recours à des ressources externes.
7 cadres sur 10 prêts à négocier le salaire à l’embauche La moitié des travailleurs canadiens ont déjà fait l’école buissonnière
Le programme des travailleurs temporaires étrangers est-il nuisible au marché du travail ? Les horaires de travail flexibles largement appréciés par les mères actives 56% des cadres supérieurs penchent vers une amélioration de l’économie Vaste plan en matière de handicap au Saskatchewan
Mylène et Mélanie Grégoire, auteures du livre "Tracez votre destinée professionnelle", nous reviennent avec une version en format « livre-magazine ».